Collection Cocu. By-CœUr Allemands. Saison Ii (5/6)

Tous les signes me rappelant les débordements que j’ai pratiqués hier au soir avec Karine, mon amie et les quatre by-cœur allemands, venus passer la soirée au pied du cerisier où Jules à sa balançoire, sont au rouge.
Pratiquant l’adultère couramment, à ce qu’elle m’avoue, les réponses aux questions que se posent nos maris à la suite de ce que j’ai dit au téléphone, lui sortent sans aucun problème de la bouche.
Sa bouche sachant pomper comme, moi-même, je l’ai fait avec ces quatre garçons.
Le schnaps a grandement contribué à ce que j’aie fait et accepté de faire.
Même si à un moment, j’ignore qui m’a prise, ce dont je suis sûr c’est que j’ai échappé à la sodomie, ce que Karine pratique couramment.
Sans en avoir la certitude, quand je vais me doucher ayant émergé de mon coma éthylique, quand je me passe la savonnette sur mon anus, aucune douleur, prouvant l’avoir fait.
J’ai une dernière frayeur quand nos hommes nous parlent de saucisse blanche qu’ils ont mangée lors d’un voyage près de Hanovre en Allemagne, lieu où réside Sylvano, celui qui m’a le plus baisé.
Je suis à deux doigts de lui parler de schnaps quand il en parle, dans mon cerveau mes idées se bousculent.
Mais ouf, il y a deux noirs près de cette ville, Octavio étant chétif alors que Sylvano est un véritable étalon sachant faire jouer ses pectoraux.

• Et si nous allions nous coucher, les s risquent de bouger de bonne heure et il y a eu la route avec ses bouchons.

C’est parti, début de notre plan, baiser, baiser et baiser encore.

• Je sens que se va être les meilleures vacances depuis des lustres.
Merci Covid d’avoir empêché mon copain d’aller au Portugal.
• Ton copain, ma copine, mais en attendant, que penses-tu de ta petite femme chérie.
• Elle est canon.

Il faut dire moi qui d’ordinaire suis plutôt prude, je sors nue de la salle de bain alors que Sylvain est couché nu sur le lit par cette chaleur.



• Non, demain, BB, à notre réveil, ce soir je suis crevée.
• J’ai passé la nuit dernière ton oreiller entre mes cuisses pour éteindre le feu que ta vision chaque fois que je fermais les yeux déclenchait en moi.
Et toi ce soir tu veux que ce soit demain avec le risque que Jules, comme il le fait tous les dimanches, vient nous sauter sur le ventre.
Combien de fois, le petit coup du matin s’est transformé en de simples papouilles à notre fils.

Je monte telle une louve sur le lit m’approchant de son sexe.
Par chance, peu de résistance, ma main puis ma bouche venant démarrer la montée de sang qui va me permettre de l’enfourcher.
Neuf fois sur dix, bon, disons huit fois, c’est moi qui suis sur lui.
Les autres fois, c’est en levrette qu’il me prend.
La position du missionnaire, depuis que je me suis donnée, c’est très rare.
J’ai l’impression d’être sa chose et si dans la vie il y a quelque chose que j’exècre, avoir la sensation que l’on me domine.
Bien sûr, la nuit dernière avec les Allemands, j’ai plus subi que j’ai dominé, mais là le schnaps doit y être pour beaucoup.

• Continu, BB, je te sens bien, prends-moi au plus profond et arrose-moi.
Ou vas-tu ?
• BB, tu sais que j’en ai envie !
• Pas ce soir, je te jure qu’avant la fin des vacances, tu pourras me prendre le petit.
Ce soir c’est ton sperme dans ma chatte qui me fait envie.

Je suis en levrette quand nous échangeons ces quelques mots avant que nous éclations dans une gerbe de plaisir.

• Jannine, as-tu pris ta pilule ?
• Merde.
• Trop tard BB, j’ai lâché la purée.
Tu sais ce que m’a dit Jules dans la voiture !
Avec Mario, nous avons éclaté de rire.
« Dis papa quand est-ce que vous me ferez une petite sœur. »
Laissons faire le destin.

La chance du débutant, là de la débutante, j’allais chercher, comment lui dire que j’avais oublié ma pilule ce soir et de lui mentir.

Demain aller au village à une pharmacie où je sais pertinemment qu’elles brillent par leur absence.

• Tu l’as fait et tu lui as dit Karine !
• Pour le faire, on l’a fait, trois fois même, ma chatte débordait.
• Tu lui as dit pour l’oubli de ta pilule du lendemain !
• Inutile, ton fils a parlé d’une petite sœur dans la voiture, ce qui les a fait rire.
Pourquoi pas nous ?
Ça été ses mots, pour une fois il a été inutile que je mente.
• On a de la chance, moi aussi.

La matinée se termine, nous allons passer à table.
Avant j’ai un travail à faire, je récupère les vêtements de nos hommes.
Les jeans, sauf pluie, ce qui semble bien lointain, ils vont vivre en maillot de bain, maxi short et tongs.
Karine joue avec les s près du cerisier pendant que les hommes réparent la balançoire.
Par habitude, je fais les poches de Sylvain, il y laisse toujours quelque chose, même des billets de banque.
C’est le cas, la monnaie certainement sur 20 € et un billet d’euro million pour le tirage de demain soir.
Je les mets sur la table de la cuisine d’été.

• C’est réparé, ils se balancent.
Tiens, le billet d’euro million que nous avons acheté ensemble avec Mario en prenant un café à la sortie du dentiste.
J’avais promis à Jules et Carole de leur payer un coca s’ils étaient sages chez le dentiste.
Quand j’ai été payé, j’ai vu que la cagnotte était d’un peu plus de 167 millions d’euros, nous lui avons fait faire un flash.
Avec un peu de chance, on aura une chance de cocu.
Du moins c’est ce que m’a dit Mario avec son humour habituel.
Je t’aime chérie.

J’ignore ce qu’est un flash, mais je me garde bien de surenchérir sur leur chance de cocu.
De toute manière, chaque fois qu’il joue et c’est eu fréquent, il paire.
Le midi salade de tomates avec maïs et un peu de jambon acheté en tranche épaisse en même temps que les saucisses.


• Les s, allez enfiler vos maillots de bain, nous allons à l’étang.
• Pour nous, nous devons dépendre les affaires lavées hier et pendre les vôtres.
• On vous attend !

C’est ensemble que nous arrivons à l’endroit où tout a commencé avec les quatre hommes.
Heureusement, je suis la seule à remarque les traces des pneus des trois motos sur lesquelles nous sommes descendues, remontant nues ayant baisé une fois au bord de ce coin d’herbe un peu cramé.
Les s sautent dans l’eau et s’aspergent.
Nous sommes descendues, dans mon maillot deux pièces et Karine une seulement.
Je vois Mario discrètement lui passer une main aux fesses.
As ce que j’en sais, si Karine est une belle salope, il aime baiser, lui aussi.
Par chance, c’est loin d’être mon genre, s’il est intelligent, ça reste un beauf dans son comportement.
Je vois Jules aller dans les roseaux et venir vers nous alors que nous sommes assis.

• Maman regarde ce que j’ai trouvé dans les roseaux, ta petite culotte.
Elle est toute déchirée.
• Ma petite culotte, je viens de l’enlever du fil où elle séchait sur la corde à linge.
• Non, Jannine, il restait une pince libre avant que nous pendions les affaires de ces messieurs.

La salope, elle qui se dit mon amie, me balance à mon homme, lui mettant certainement le doute dans son esprit.

• Jules, comment peux-tu dire que c’est la culotte de maman.
• Love dans un cœur, à la maison, maman est sorti de la salle de bains et j’ai vu sa culotte, rose, je la reconnais.
• Jannine, à tous les coups, elle s’est détachée de la corde, tu avais dû mal mettre la pince !
Un renard est passé, s’amusant avec, la déchirant et venant l’abandonné ici en venant boire.
• Tu as raison Karine, les renards sont nombreux dans la région, depuis que la rage a été éradiquée, c’est la seule solution plausible.
Allons à l’eau, nous la mettrons à la poubelle à la maison.

BB je t’en achèterais une autre bleue, c’est ce que je voulais, mais cette couleur manquait quand je l’ai acheté.

Je pourrais ajouter, comme la pilule du lendemain, mais celle que je prenais pour une lâcheuse, une nouvelle fois me sauve la vie.
Le coup du renard, je le retiendrais celui-là.

C’est le mercredi matin que, ce qui devait changer notre vie s’accélère.
Nous descendons à Vic-sur-Cère à la piscine.
Nous avons décidé de donner des cours de natation aux s, l’étang, c’est sympa, mais il y a un risque même s’il est loin d’être profond.
Cinq fois nous devrons venir, mais la sécurité des s vaut bien de petits sacrifices.
La première leçon prise, nous allons au café sur la place près de là.
Sur une table, le journal local.
Sylvain, le parcours.

• BB ou as-tu mis notre ticket d’euro million ?
• Dans ton portefeuille !...

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